Mala bouddhiste tibétain en graines de bois de rose avec noix d'ivoire végétal graine de bodhi dragon
    Mala bouddhiste tibétain en graines de bois de rose avec noix d'ivoire végétal graine de bodhi dragon
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    Mala bouddhiste tibétain en graines de bois de rose avec noix d'ivoire végétal graine de bodhi dragon
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    Mala bouddhiste tibétain en graines de bois de rose avec noix d'ivoire végétal graine de bodhi dragon

    Mala bouddhiste tibétain en graines de bois de rose avec noix d'ivoire végétal graine de bodhi dragon

    Mala bouddhiste tibétain en graines de bois de rose et graines avec noix d'ivoire végétal graine de bodhi dragon, et  perles en cornaline et bois précieux

    Les petites perles ont un diamétre de 7 à 8mm mm,
    ce mala bouddhiste tibétain mesure 80 cm de long environ 

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    Description

    La tradition hindoue veut que la façon correcte d'utiliser un mala est avec la main droite, avec le pouce en passant d’une pierre à une autre, et avec la mala “drapé” sur le doigt du milieu. L'index représente l'égo, le plus grand obstacle à la réalisation de soi, de sorte qu'il est considéré comme préférable de l'éviter (comme avec l'égo) lorsque l’on récite ou chante un mala.

    Selon les textes anciens du Vajrayana et ceux de Gourou Rimpotché, chaque Mala sert précisément une pratique, en voici quelques exemples :
    Le Mala tibétain en graine de Bodhi est le seul adapté à toutes les pratiques
    Le Mala tibétain en coquillage, terre, graine ou bois est davantage adapté aux pratiques de méditation
    Le Mala tibétain en Dzi peut remplacer n’importe quelle pierre
    Le Mala en cristal de Roche est utilisé pour la pratique des purification
    Selon certains textes anciens, certains japa malas tibétains démultiplient le karma, les malas en graines multiplient le karma positif par 20 millions, ceux en perles le multiplient par 100 millions…

    Avant l’utilisation, il est préconisé de faire bénir le mala tibétain par un moine, et si cela n’est pas possible immédiatement, tout au moins le bénir soi-même afin de l’imprégner de notre propre énergie et au moyen d’un mantra. Vous pouvez réaliser cette opération avec de l’encens tibétain ou de la sauge sacrée.

    N’utilisez pas de mala qui ne possède pas les 108 perles, ni un mala abîmé, ni un mala ayant appartenu à une autre personne. Un mala est un objet bouddhiste très personnel qui ne doit pas être prêté.

    Comment utiliser un japa mala ?
    Le japa mala tibétain est un objet de rituel bouddhiste ; il sert à compter les prosternations, respirations ou pensées perturbatrices. On le tient de la main gauche et on fait défiler les perles une à une avec le pouce.
    Les pratiquants du Vajrayana ont besoin, pour leur pratique, d’un japa mala avec compteur ou compteurs séparés. C’est un accessoire qui souvent se différencie du mala, par une perle de couleur différente, ou une petite cloche ou un dorjé. Ces compteurs servent à mémoriser le nombre de mantras récités lors de la pratique. Pour chaque mantra récité, le pratiquant avance une perle.

    Lorsque l’on a fait le tour du mala, on a donc récité 108 mantras, mais seuls 100 seront comptabilisés, les 8 restants seront pour les éventuels ratés, oublis… Ces 100 mantras seront alors stockés sur le compteur de dizaine (le dorjé). Lorsque 10 tours de mala ont été faits, le compteur est plein et doit être vidé. Pour ce faire, il faut avancer une perle sur le second compteur, le compteur de centaine (la cloche).

    Au bout de 10000 mantras, le compteur de centaine est plein. Pour le vider, il faut une pince à mala à insérer entre la perle du Gourou (la plus grosse perle du mala) et la perle d’à côté. Ainsi, tous les 10000 mantras, on déplace la pince d’une perle. Lorsque la pince est à la 10ème perle, on a récité 100 000 mantras, ce qui est le minimum pour les pratiquants du Vajrayana et du Ngondro.

    Lorsqu'il n’est pas en cours d'utilisation, conservez votre mala dans un espace spécial, propre et de préférence sacré. Le meilleur endroit pour stocker un mala est sur une statue de divinité.

    Le choix d'un Mantra pour le mala :
    Un mantra est soit donné par un enseignant ou choisi par vous-même. Lorsque vous choisissez un mantra, être clair sur dans votre intention. Vous voudrez peut-être essayer chaque mantra pendant quelques répétitions pour voir comment il résonne en  vous et choisir celui qui convient le mieux pour vous.

    Les malas de poignets servent à compter les prosternations, ce qui est plus pratique.

    Le numéro 108 
    Le mala (tengwa, en tibétain, Look-Pakam en Thaï) est le chapelet Bouddhiste, fidèle compagnon du pratiquant qui le tient souvent à la main, enroulé autour du poignet ou autour de son cou comme un collier. Le mot mala signifie en sanskrit « collier de fleurs » ou « guirlande de perles ». Il s’agit d’un chapelet regroupant 108 perles pouvant symboliser selon les pays: 
    - Les 108 épreuves qu’a passé Bouddha pour atteindre l’illumination et les 108 noms du Bouddha 
    - Les 108 passions que doit surmonter le fidèle afin de se rapprocher de l’état idéal de méditation et d’ascétisme. 
    - Les 108 mudra (gestes rituels) dans le Tantra. - Les 108 positions corporelles du Yoga. 
    - Les 108 feux allumés au Japon lors des cérémonies du culte des morts. 
    - Les 108 tombeaux extérieurs, du mont Hiei près de Kyoto, au Japon. 

     Ces 108 grains du chapelet Bouddhiste proviendraient de la somme des 12 mois, des 24 arrangements dans lesquels le calendrier solaire a été divisé, et les 72 divisions de l'année chinoise en périodes de 5 jours: 12 + 24 + 72 = 108. Selon une autre tradition fort ancienne en Orient, l'importance du chiffre 108 dériverait de 10800 qui multiplie le nombre de moments dans l'année et le nombre de versets dans le Rig-Veda 
    - Il existe, en Orient, 108 faiblesses, telles que l'illusion, les désirs, la haine, l'attachement, l'orgueil, etc... qui correspondent aux 108 grains du chapelet bouddhiste. Ces 108 faiblesses sont appelées les 108 liens karmiques. 
    - Après la mort du Bouddha, Padma-Sambhava, le grand gourou tibétain qui rétablit l'ésotérisme au Tibet, aurait caché et préservé les 108 écrits les plus sacrés qui lui furent révélés dans les mondes célestes - archive akashiques - dans le monde des hommes et le Royaume des Nagas - ou des adeptes. Selon la légende, Il les cacha à la frontière du Népal au Nord du Tibet. 
    - Dans l'Hindouisme, il y a 108 représentations des poses - danses sacrées - du Nastya Shastra, il y a 108 Upanishads, 108 noms de Vishnou dans le Mahabharata et 108 noms pour Shiva.


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